09 février, 2009

lundi, 9 février

En 1001 ce matin, on a tellement bien commencé! Avec la question démarrage plusieurs étudiants avaient des réponses non pas juste préparées à l'avance, mais grammaticalement compliquées ! « Je pense que je suis comme Rachid parce que nous étudions les mêmes sujets. » Pour les 1001, c'est vraiment manifique et j'étais sur de prendre un moment afin de les féliciter.

Mais ce matin on a rencontré également la première vraie difficulté: la formation des questions oui/non et la négation simple (avec «ne... pas»). Au moins, les étudiants ont posé beaucoup de questions. Mais, parce qu'il y en avait tant, on n'a eu que peu de temps pour les activités de production et surtout de communication. A voir comment ils ont fait sur le deuxième quiz. Je crois que je verrai bien la division entre ceux qui ont préparé avec les devoirs et le practice quiz et ceux qui n'ont pas.

A la revu, j'aurais dû commencé la leçon avec la vidéo - c'est-à-dire plus passivement - au lieu de la présentation de grammaire, surtout puisque je ne voulais qu'ils identifient les phrases interrogatives. A noter et à suivre d'ici le reste de semestre.

Mais cette situation relève deux problèmes/changements dans les leçons que je fais ce semestre avec cette nouvelle approche. 1) On fait beacoup moins de conversation en classe parce qu'on fait plus de présentations et de vidéos - des choses que les étudiants peuvent faire chez eux. 2) Il y a assez peu de liaisons entre les parties diverses de chaque leçon. Elles semblent bien hachées et divisées arbitrairement.

Donc, j'aimerais chercher à augmenter la communication en classe pendant qu'on garde la structure à laquelle les étudiants réagissent si bien. J'ai un meeting avec Luc cet aprés-midi, je peux en discuter avec lui. Pour le deuxième point, c'est facile: il va falloir simplement faire un effort avec les leçons restantes de noter les connexions possibles entre les parties (« Noter cette phrase dans l'article? C'est quelle sorte de grammaire? » ou « Rachid dit "X." Pourquoi parle-t-on ainsi ? » etc.)

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